Le test d'intrusion, outil de réduction des risques
Une réponse opérationnelle pour votre démarche SSI

Evaluer la sécurité de votre infrastructure ou de vos applications critiques

Evaluer votre sécurité vis-à-vis d’un attaquant externe et/ou interne

Déterminer vos plans d’action court, moyen et long terme

Protéger vos données

Identifier les risques cyber
Que savent les hackers sur votre entreprise ?
Faire le testQuel périmètre pour votre test d’intrusion ?
Testez tout ou partie de votre organisation

Testez la vulnérabilité de tout ou partie de votre système d'information exposé, susceptible d'être exploité par des hackers ou des logiciels malveillants.

Testez la vulnérabilité de votre entreprise face à un attaquant interne disposant de certains accès (Accès VPN, compromission via du phishing, accès wifi, etc...).

Evaluez la sécurité de vos applications et sites web en détectant les failles établies par l'OWASP.

Evaluez la sécurité de votre hébergeur Cloud Privé ou Cloud Public (Azure, O365, AWS, GCP).

Sécurité des accès au Power i, analyse matricielle de la gestion des droits, évaluation des risques de la JVM, sécurité des Applicatifs Web.

Analyse de la couverture et configuration de l'EDR déployé sur votre parc, pour améliorer son efficacité dans la détection d'attaques.

Évaluez la sécurité de vos applications Android et iOS en identifiant les vulnérabilités et en protégeant les données sensibles.

Simulez une attaque réaliste pour tester la résistance de votre organisation face à des scénarios d'intrusion avancés.

Combinez les forces de l'attaque et de la défense pour améliorer votre détection et votre réponse aux menaces.
La méthodologie d'un test d'intrusion
Greybox, le nouveau standard

L’auditeur simule une attaque en se mettant dans la peau d’un hacker, dans les conditions d’un piratage réelle.
Ce test en boite noire consiste à effectuer un pentest sans aucune connaissance préalable de l'environnement cible. Cela reproduit une attaque externe réaliste, en testant principalement les surfaces d'attaque exposées au public, comme les applications web ou les systèmes ouverts. Cette approche permet de mesurer la capacité réelle de l'entreprise à résister à un attaquant externe sans privilèges initiaux. Cependant, elle peut manquer de profondeur pour identifier des failles internes complexes, ce qui est compensé par les méthodes white box ou grey box qui explorent les vulnérabilités internes avec plus de précision.

L'auditeur travaille en étroite collaboration avec la DSI de son client, avec un accès à toutes les informations techniques sur le périmètre audité.
Un audit en boite blanche consiste à réaliser un test d'intrusion en ayant accès à toutes les informations nécessaires sur l'infrastructure cible : code source, architecture réseau, configurations système, etc. Cette méthode permet d'identifier rapidement des vulnérabilités profondes et complexes qui seraient difficiles à détecter autrement. Elle offre une couverture exhaustive des tests, permettant d'optimiser les ressources et le temps. Toutefois, cette approche peut manquer de réalisme dans le cas où un attaquant externe ne disposerait pas de telles informations, c'est là que le grey box ou le black box testing peuvent apporter un complément en simulant des attaques externes plus réalistes.

Méthodologie intermédiaire qui permet de bénéficier des avantages du BlackBox et du WhiteBox.
Méthodologie intermédiaire qui permet de bénéficier des avantages du BlackBox et du WhiteBox.

Un exercice Red Team simule des attaques réelles et sophistiquées contre une entreprise pour tester ses défenses. Cette approche permet d'évaluer la capacité de l'équipe de sécurité à détecter, répondre et contenir des menaces avancées. L'objectif principal est de mettre en lumière les points faibles de l'infrastructure, des processus ou des personnes. Cependant, comme les tests sont purement offensifs, ils ne permettent pas toujours un apprentissage direct ou une amélioration en temps réel ; c'est ici que la Purple Team intervient pour combler cette lacune.

Un Purple Team combine les approches offensive et défensive en travaillant en collaboration avec le SOC (Security Operations Center). Cette méthode permet de mener des attaques tout en observant en direct ce que le SOC parvient à détecter ou non. Cela aide à identifier les limites de la surveillance et à améliorer les capacités de détection en affinant les règles et les mécanismes de réponse. Comprendre ce qui échappe à la visibilité du SOC est crucial pour adapter les stratégies de défense et renforcer la posture globale de sécurité face à des menaces réelles.